lectures et prédication du 10 novembre 2024.mp3 (36.29 Mo)
ORGUE
SALUTATION
Un jour quelqu'un m'a dit qu'il aimait cette salutation de Jean Chrysostome, ou « bouche d'or » théologien, prédicateur et archevêque de l'Église du 4e s, celui qui dénonçait vigoureusement l’injustice sociale, l’abus de pouvoir et les excès des élites, y compris les membres influents de l’Église et de la cour impériale, ce qui lui valut de nombreux ennemis. Sa prédication insistait aussi sur l’importance de la charité, de l’humilité et de l’intégrité morale dans la vie chrétienne.
Il n’est rien qui rende aussi joyeuse notre vie que la satisfaction que l’on goute à l’église. A l’église on observe la joie des gens joyeux, à l’église le courage des gens découragés, mais aussi à l’église la gaieté des gens attristés, à l’église le soulagement des gens épuisés, à l’église le repos des gens lassés ....C’est au repos que nous engage le Maitre après les fatigues, c’est la détente qu’il nous procure après les tracas. Céleste invitation !
Le seigneur avec vous, qui vous donne la grâce et la paix
[debout]
“Invoquons le Seigneur notre Dieu”
Béni soit sois-tu Seigneur pour ta fidélité. Que ma bouche célèbre tes louanges. Permets-moi de voir ta lumière.
LOUANGE
Louons D. avec un extrait du psaume 145
14 Le Seigneur soutient tous ceux qui tombent, il redresse tous ceux qui sont courbés. 15 Tous, avec espoir, tournent les yeux vers toi, c'est toi qui leur donnes leur nourriture en son temps. 16 Tu ouvres ta main
et tu rassasies à souhait tout être vivant. 17 Le Seigneur est juste dans toutes ses voies et fdèle dans toutes ses œuvres. 18 Le Seigneur est proche de tous ceux qui l'invoquent, de tous ceux qui l'invoquent avec
Culte du 7 janvier 2024. Page 3
loyauté ;
19 il réalise les souhaits de ceux qui le craignent, il entend leurs appels au secours et il les sauve. (...) 21 Que ma bouche dise la louange du Seigneur ! Que pour toujours, à jamais, tout être bénisse son nom
sacré !
23-03, les 3 strophes, pages 268 et 269
PRISE EN CHARGE PAR LES LECTEURS JUSQU'À LA PRÉDICATION
[assis]
PRIERE DE CONVERSION
Notre Dieu, notre repentance n'aurait pas assez de force si nous n'avions pas dans notre cœur la sensation d'une grace infnie . Je retourne vers Toi Seigneur, là où tu es, dans la bienveillance et la paix.
ASSIS
23-07, strophe 1 pages 272 et 273
ANNONCE DU PARDON
L’apôtre Paul déclare : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ». Cette promesse est pour nous, lorsque nous doutons sur notre chemin, lorsque nous nous sentons indignes, lorsque nous plions sous la routine ou la difficulté de la vie. Cette nouvelle création n’est pas le fruit de nos repentirs ou de nos efforts, elle est l’œuvre du Seigneur. Que Dieu nous mette au cœur l’assurance de son pardon et qu’Il nous donne de marcher vers son Royaume.
23-07, strophe 2 pages 272 et 273
[debout]
L’Éternel ton Dieu est le seul Seigneur, Tu aimeras l’Éternel ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée. C'est là le premier et le grand commandement, et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Aucun commandement n'est plus grand que ces deux là.
23-07, strophe 2 pages 272 et 273
[assis]
PRIERE D'ILLUMINATION ENSEMBLE [lecteur ]
Page 1106, prière d’illumination 2
LES LECTURES
HÉBREUX 7 La fin des prêtres
De plus, les prêtres se sont succédé en grand nombre, parce que la mort les empêchait de demeurer ; 24mais lui, parce qu'il demeure pour toujours, il possède un sacerdoce inaliénable. C'est pour cela aussi qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, puisqu'il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.
Pour nous, c'est bien un tel grand prêtre qui convenait : saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, et élevé plus haut que les cieux ; il n'a pas besoin, comme les grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, et ensuite pour ceux du peuple – cela, il l'a fait une fois pour toutes, en s'offrant lui-même. La loi en effet institue grands prêtres des humains sujets à la faiblesse ; mais la parole du serment postérieur à la loi institue le Fils qui a été porté pour toujours à son accomplissement.
MARC 12 Celle qui prend sur son indigence
38 Dans son enseignement, il disait : « Méfiez-vous des scribes, qui tiennent à se promener en vêtements d’apparat et qui aiment les salutations sur les places publiques,
39 les sièges d’honneur dans les synagogues, et les places d’honneur dans les dîners.
40 Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. »
41 Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.
42 Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie.
43 Jésus appela ses disciples et leur déclara : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres.
44 Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. »
ORGUE BREF ET VIF
PRÉDICATION
Voilà que ceux qui mettent ensemble les textes du jour, et les rendent disponibles pour être médités les jours de la semaine, et prêchés les dimanches, ont créé pour aujourd'hui une espèce de paradoxe. Volontairement ou non, je n'en sais rien. Toujours est-il que le texte de l'épitre- que vous avez sous les yeux- déclare la fin des prêtres, autrement dit de ceux qui étaient habilités au Temple à faire les sacrifices. En grec ce sont littéralement les gens du sacré, ceux qui font que le sacré arrive. La venue du sacré se fait par eux: « sacri-fice » en latin, c'est faire le sacré. Et la personne qui a écrit l'épitre aux Hébreux en donne explicitement la raison. Si on passe par dessus ce vocabulaire touffu et quasi illisible aujourd'hui (j'y reviendrai) : on comprend que la raison c'est : plus besoin. Jésus-Christ a tout accompli en la matière. Plus besoin.
Et puis, nous avons ce passage de l'évangile de Marc. Une femme semble aller au sacrifice. Dans la façon courante d'employer ce mot. On la voit en train de se sacrifier pour l'offrande. Jésus semble la vanter. Nous lisons que Jésus dit: elle prend sur son indigence. C'est-à-dire qu'elle ne donne pas son superflu, mais son nécessaire vital. Qu'elle se prive, se meurtrit, pour l'offrande au Temple.
Et ça, ça vrille un peu le cerveau de l'interprète. Puisque d'un côté plus besoin de sacrifier des vies, en l'occurence animales, et d'un autre côté voilà une femme qui finalement accomplit un sacrifice humain, certes pas jusqu'à la mort, mais presque.
J'avais jusqu'ici et je le confesse toujours évité de prêcher sur ce texte de Marc. La valorisation de cet acte là m'a toujours gêné . Quoiqu'on en dise, je pensais qu'on irait toujours vers l'admiration de cette femme et que le mandat de ce texte serait: l'injonction au sacrifice.
Mais aujourd'hui, la proximité du passage de l'épitre aux hébreux a été un détonateur pour lire autrement le texte de Marc. En fait, il n'y a dans ce texte et dans les paroles de Jésus aucune valorisation de son acte. Jésus ne la vante aucunement. Regardez bien, vous l'avez sous les yeux. Jésus dénigre le comportement des scribes qui se pavanent et dévorent dit-il, les biens des veuves; là, Jésus est tout à fait clair. Quant à l'acte de cette veuve- impossible de ne pas faire le lien avec ce qui précède- Jésus ne fait que le décrire. Quant tout à coup, mes yeux se sont décillés. Encore une fois, j'ai été bluffé par l'évangile. Ici, ce n'est pas une incantation à la charité extrême et mortifère. C'est au contraire la description pointue d'une injustice sociale, avec l'exemple à l'appui d'une veuve embarquée dans un processus de confiance auto destructrice. Ça, j'aurais pu le voir avant si je n'avais pas évité ce récit. Mais si je l'ai évité, c'est justement parce que j'avais été confronté à beaucoup de gloses à propos de son soi disant exemple à suivre.
J'espère que certains d'entre vous, qui auraient été aussi aveuglés que moi, ont pu maintenant avoir les yeux ouverts.
Je remercie donc et salue bien bas les fabricants des listes du jour qui m'ont permis, une fois pour toutes, de bien comprendre ce récit.
La prédication aurait pu s'arrêter là. Mais elle va continuer pour vous dire quelque chose de cette fameuse lettre aux hébreux. Par exemple , si on la trouve généralement quasi illisible dans nos traductions actuelles, c'est qu'elle est peut-être le document du nouveau testament écrit dans le grec classique le plus pur, avant une grande richesse de vocabulaire. Le problème est que sa restitution habituelle en français produit une version truffée de vocabulaire devenu religieux et mystérieux, comme par exemple ici l'expression de: sacerdoce inaliénable. Or, au départ, tout ce vocabulaire n'était pas religieux, n'était pas pris dans une tradition. Il était créatif et inventif. Mais c'est aujourd'hui difficile de le percevoir.
Tout le monde s'accorde pour dire que la lettre aux hébreux est une œuvre d'une part très stylée et aussi d'une importance théologique majeure. Mais c'est embêtant en effet si personne ne la lit plus. Cette épitre, on ne sait pas exactement quand elle a été écrite. Soit avant la destruction du Temple de Jérusalem, soit peu après. Ce qui est certain, c'est qu'elle innove car elle met en valeur la notion de la mort sacrificielle du Christ. Cette théorie, car c'en est une, n'est pas, je le rappelle, la seule interprétation la mort de Jésus dans le nouveau testament. Toujours est-il que ceux qui aujourd'hui refusent cette interprétation refusent aussi cette lettre car celle-ci n'est pas « d'accord » avec eux. Mais ce faisant, ils oublient que la personne qui a écrit ce sermon- car c'est plus finalement un sermon qu'une lettre- tire les conséquences de sa propre théorie. Et ces conséquences sont subversives. C'est la fin des prêtres. C'est la fin de la hiérarchie religieuse dans la religion juive de l'époque.La personne qui écrit, juive mais ayant adopté Jésus comme le Messie, l'affirme pleinement. Et les conséquences de ces conséquence sont nombreuses. Mais je les résume en deux mots: enfin libres. Plus de rituels obligatoires, expiatoires et payants. J'ajoute que ce que cette personne raconte a encore plus de saveur explosive si effectivement quand elle écrivait, le Temple n'avait pas encore été détruit. Parce que, ses mots mêmes sont effectivement en train de le déconstruire, ce Temple, à la racine. Au nom de Jésus-Christ, celui qui a payé le prix . Et donc ça suffit. Plus besoin. Plus besoin de Temple, plus besoin de pèlerinage, plus besoin de sacrifier des animaux innocents, et couteux. Plus d'offrande, car ce mot originellement désigne le sacrifice.Plus besoin, donc, de prêtres, les administrateurs du sacrifice.
Tous ces sacrificateurs étaient là, dit l'épitre aux hébreux, et sont là et se succèdent mais à cause de quoi ? À cause de la mort. C'est la mort, selon ce qui est ici écrit, qui crée la succession, qui crée la tradition, qui exige un ordre et une institution qui ne serait finalement que basée sur le fait de la mort et de la finitude. Redoutable argument.
Le Christ lui est éternel: donc: plus de mort, et doncplus d'institution. Sinon pour gérer les affaires courantes, mais en tous les cas plus d'institution avec des gens qui se prendraient pour des hiérarques nécessaires à nos vies et à notre rédemption.
Au fait, qui a écrit l'épitre aux hébreux ? La lettre est anonyme. Et c'est le seul document du nouveau testament qui est totalement anonyme, c'est-à-dire n'ayant pas même reçu par la tradition postérieure, un nom d'auteur. Comme par exemple, nos quatre évangiles.
Tout le monde s'est affairé pour trouver ce nom. On a d'abord conclu qu'il s'agissait de Paul. Mais finalement, non car ce n'est pas du tout son style. Martin Luther a proposé Apollos. Un homme cultivé qu'on rencontre dans le livre des actes. Origène et Tertulien , deux pères de l'Eglise des 2e et 3e s. (Tertullien c'est quand même celui qui a inventé la théorie de la Trinité) eux, ont proposé un certain Barnabé, qui était un évangéliste compagnon de Paul. Un homme très lié aux juifs qui parlaient, lisaient et pensaient en grec.
Mais aujourd'hui, on penche plutôt sur une autre personne à laquelle tous ces hommes n'avaient jamais pensé: une certaine Priscille aurait pu en effet ne pas signer pour éviter de choquer les lecteurs masculins de l’époque.
Qui est Priscille?
Priscille est une figure importante du Nouveau Testament, mentionnée principalement dans les Actes des Apôtres et dans les lettres de Paul. Elle est souvent citée aux côtés de son mari, Aquilas, et tous deux sont connus pour leur rôle actif dans l’expansion du christianisme des débuts. En Éphèse, Pricille et Aquilas rencontrent un prédicateur nommé, justement, Apollos, qui était décrit certes, comme versé dans les Écritures; mais encore un peu rugueux. Priscille et Aquilas le prennent sous leur aile, lui expliquant « plus exactement la voie de Dieu » (Actes 18:26). Ce détail est significatif, car il montre Priscille dans un rôle d’instruction. Une position peu courante pour une femme dans le contexte de l’Antiquité. Priscille apparaît souvent mentionnée avant son mari Aquilas. Ce qui est définitivement un signe de son importance ou de son statut dans la communauté chrétienne. Priscille est ainsi l'une des premières « responsables de maison » . En gros chef d'Église. Puisque les assemblées (ou églises) ,en dehors des synagogues, étaient d'abord domestiques. La tradition des « églises de maison » vient de là. Les protestants s'en sont rappelés quand tous leurs temples avaient été détruits. Et il ne faudrait pas oublier que cet endroit -ici-même au nom grandiloquent de Temple est d'abord une maison.
Alors, si je ne crois pas que nos fabricants de listes de textes du jour aient été animés d'une telle totale intention, en tous les cas, ils m'ont permis de réhabiliter deux femmes, mais Jésus l'avait fait avant moi, cette veuve pauvre de Marc, et aussi l'auteure très probable de la lettre aux hébreux. Un des textes les plus sophistiqués du nouveau testament.
ORGUE
ANNONCES ET
OFFRANDE ORGUE ACCOMPAGNE OFFRANDE (BREF)
PASTEUR À LA TABLE DE COMMUNION
CONFESSION DE FOI [ENSEMBLE] cf feuille de culte
Aujourd’hui, nous affirmons notre foi
Je crois en Dieu, notre Père,
créateur du ciel et de la terre,
créateur des choses visibles et invisibles. Souverain dans l'aveuglante proximité du Réel.
Je crois en Jésus-Christ comme son fils bien-aimé, notre Seigneur venu nous parler.
De la vérité au milieu du chemin et de la vie.
Je crois en l'Esprit Saint,
inspiration pour le peuple et dans nos consciences faisant de nous des affranchi.e.s.
Je crois au Règne de Dieu,
à l'amour plus fort que la mort, et à la vie éternelle.
Amen
24-01, strophes 1 et 2, page 284
LECTEUR(S) REJOIGNENT LE PASTEUR À LA TABLE
PRÉFACE
II est vraiment juste et bon de te dire merci, en tout lieu et en toute occasion, Dieu puissant, Père éternel et saint, par Jésus-Christ, notre Seigneur, pour la beauté de ta création et pour ton amour qui sauve. C’est pourquoi, avec toute l’Église à travers le monde, avec ses messagers et toute la multitude, avec toutes celles et ceux qui nous ont précédés dans la foi, dans une même joie, nous élevons et célébrons ton nom glorieux, et nous chantons ta grandeur
[LECTEUR] INSTITUTION (Matthieu 26.26-29)
Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant: Prenez, mangez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant: Buvez-en tous; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne, jusqu'au jour où j'en boirai du nouveau avec vous dans le royaume de mon Père.
PRIÈRE À L'ESPRIT SAINT
Père, autour de cette table, nous faisons mémoire des paroles et des gestes de Jésus-Christ, de sa mort, de sa résurrection, et nous attendons son retour. Il n’y a ici qu’un peu de pain et un peu de vin. Envoie sur nous ton Esprit-Saint pour que nous les recevions comme les signes dont notre foi a besoin pour discerner la présence de Jésus-Christ au cœur de notre vie.
[LECTEUR] PRIÈRE D'INTERCESSION
Dieu, Père de notre Seigneur Jésus-Christ, notre Père, tes mains se sont ouvertes pour nous, et nous voulons t'en bénir.Pour la communion de l'Eglise où ton amour nous accueille et nous unit, Seigneur, nous te bénissons.
Pour ta parole vivante: lumière, nourriture et vie, que ton amour nous a dispensée, Seigneur, nous te bénissons.
Pour cet être nouveau que tu viens de dresser en nous vers ton Royaume et ta justice, pour cette œuvre de ta seule grâce, Seigneur, nous te bénissons.
Et maintenant, nous voulons te prier, remettre entre tes mains tous ceux que l'amour du Christ a confiés à notre amour.
Pour nos bien-aimé.e.s, pour les personnes que nous te nommons à cet instant dans le secret de nos cœurs, nous te prions: Seigneur, sois présent.Pour les humains, en particulier les solitaires, ceux qui sont au coeur de la condition humaine.
Pour nos assemblées, qu'elles proclament l'intelligence de la foi avec ferveur.
Pour notre Eglise et pour toutes les Eglises, pour qui sait ton amour, pour qui cherche, pour qui te méconnait, nous te prions: Seigneur, sois avec nous.
[PASTEUR] NOTRE PERE
34-21, strophes 1 à 5, page 462
FRACTION DU PAIN
Le pain que nous rompons est la communion au corps de notre Seigneur Jésus Christ, qui a été donné pour nous.
La coupe de bénédiction pour laquelle nous rendons grâces est la communion au sang de notre Seigneur Jésus-Christ, le sang de la nouvelle alliance, qui a été répandu pour nous.
[LECTEUR] INVITATION
Le Seigneur Jésus dit : Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.
Voici que vous avez trouvé grâce devant Dieu.
Venez et goûtez combien le Seigneur est bon.
Venez, car tout est prêt.
[debout]
COMMUNION ORGUE PENDANT COMMUNION
ACTION DE GRÂCE: PSAUME 103 1 À 6
Mon âme, bénis l'Éternel! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom!
Mon âme, bénis l'Éternel, Et n'oublie aucun de ses bienfaits!
C'est lui qui pardonne toutes tes iniquités, Qui guérit toutes tes maladies;
C'est lui qui délivre ta vie de la fosse, Qui te couronne de bonté et de miséricorde;
C'est lui qui rassasie de biens ta vieillesse, Qui te fait rajeunir comme l'aigle.
L'Éternel fait justice, Il fait droit à tous les opprimés.
BÉNÉDICTION
Que le Seigneur vous bénisse et qu'il vous garde AMEN
Retour aux places, assis.
ORGUE (CONCERTANT)