Job 30.1
En lisant ce passage entier (dans la traduction NBS, s'il vous plait ...) , on découvre un style très différent du style habituel des prêches compassés. Job est ici comme un vieillard - ce qu'il n'est pas vraiment - qui se vautre dans la haine de son présent et dans la nostalgie d'un passé révolu. Ici, dans ce passage, il semble convenir qu'il se prend un spectaculaire retour de bâton - les enfants des pères que Job méprisait lui crachent maintenant au visage...Mais au lieu de se dire " je l'ai bien mérité", non, il va encore plus loin dans la colère et l'insulte. Job ne renie rien. Malade, à peu près détruit, branlant, il ne vacille pas. Il continue à enrager. Pour moi, c'est un exemple. Job dans ce passage est mon super héros du jour. Dramatique, obstiné, ironique même si tout indique que tout est f.....
1 Et maintenant, de plus jeunes que moi rient de moi, eux dont je méprisais trop les pères pour les mettre parmi les chiens de mon troupeau
En lisant ce passage entier (dans la traduction NBS, s'il vous plait ...) , on découvre un style très différent du style habituel des prêches compassés. Job est ici comme un vieillard - ce qu'il n'est pas vraiment - qui se vautre dans la haine de son présent et dans la nostalgie d'un passé révolu. Ici, dans ce passage, il semble convenir qu'il se prend un spectaculaire retour de bâton - les enfants des pères que Job méprisait lui crachent maintenant au visage...Mais au lieu de se dire " je l'ai bien mérité", non, il va encore plus loin dans la colère et l'insulte. Job ne renie rien. Malade, à peu près détruit, branlant, il ne vacille pas. Il continue à enrager. Pour moi, c'est un exemple. Job dans ce passage est mon super héros du jour. Dramatique, obstiné, ironique même si tout indique que tout est f.....