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Les protestants des 13e et 5e arrondissements de Paris. Temple de Port Royal & Maison Fraternelle

"Commencement" ( culte du 10 décembre 2023)

Prédication par R.Philipoussi



"Commencement" ( culte du 10 décembre 2023)

LECTURE PRÉALABLE (ROBERT)

 

Extraits du livre d' ESAIE, chapitre 40, texte du jour

 

 

Quelqu'un crie :

Dans le désert,

frayez le chemin du Seigneur !

Aplanissez une route pour notre Dieu dans la plaine aride !

4 Que toute vallée soit élevée,

que toute montagne et toute colline soient abaissées !

Que les reliefs se changent en terrain plat et les escarpements en vallons !

5 Alors la gloire du Seigneur se dévoilera, et tous la verront ensemble

– c'est la bouche du Seigneur qui parle.

6 Quelqu'un dit : Crie !

On répond : Que crierai-je ?

– Toute chair est de l'herbe,

tout son éclat est comme la fleur des champs.

7 L'herbe se dessèche, la fleur se fane quand le souffle du Seigneur passe dessus. Vraiment, le peuple est de l'herbe :

8 l'herbe se dessèche, la fleur se fane ; mais la parole de notre Dieu

subsistera toujours.

(...)

Votre Dieu est là !

 

10 Le Seigneur Dieu vient avec force,

 

(...)

11 Comme un berger, il fera paître son troupeau,

de son bras il rassemblera des agneaux et les portera sur son sein ;

il conduira les brebis qui allaitent.

 

 

ORGUE

 

LA SALUTATION

 

De la part du Dieu qui nous sauve, recevez la joie, la grâce et la paix. Au nom de Jésus-Christ. Amen

 

(debout)

LA LOUANGE ENSEMBLE

Père éternel, tes grâces ne tarissent jamais,

Depuis toujours nous espérons en toi.

Merveilleux Seigneur, au-delà même de nos louanges, mais vivant dans notre souffle, nous te remercions de nous accueillir ce matin chez toi, nous qui sommes venus en compagnie de nos frères et soeurs, pour vivre ce moment de fête.

 

CHANT 31-17, page 326

 

(Assis)

 

LECTEUR (au titre de la repentance et du pardon, pas la peine de préciser mais dire :)

 

Nous entendons cette parole venue du chapitre 30 du livre du Deutéronome:

 

1Lorsque toutes ces paroles arriveront sur toi, la bénédiction et la malédiction que j'ai placées devant toi, si, parmi toutes les nations où le SEIGNEUR, ton Dieu, t'aura banni, tu réfléchis, 2si tu reviens au SEIGNEUR, ton Dieu, et si tu l'écoutes de tout ton cœur et de toute ton âme, toi et tes fils, exactement comme je te l'ordonne aujourd'hui, 3alors le SEIGNEUR, ton Dieu, rétablira ta situation ; il aura compassion de toi, il te rassemblera encore d'entre tous les peuples où le SEIGNEUR, ton Dieu, t'aura dispersé.

 

CHANT 31-18, page 327

 

LECTEUR (au titre de la volonté de Dieu)

 

Écoutons maintenant un des textes de ce jour, tiré de

2 PIERRE 3, qui exprime ce que Dieu attend de nous, dans ces temps incertains

 

8 Il est cependant un point que vous ne devez pas oublier, bien-aimés : c'est que pour le Seigneur un jour est comme mille ans et mille ans comme un jour. 9Le Seigneur ne retarde pas l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le pensent. Il est patient envers vous : il ne souhaite pas que quelqu'un se perde, mais que tous accèdent à un changement radical.

10 Cependant le jour du Seigneur viendra, comme un voleur. En ce jour-là, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront et la terre, avec ses œuvres, sera mise à découvert.

11 Puisque tout cela est appelé à se dissoudre ainsi, comment ne devriez-vous pas vivre ! C'est avec une conduite sainte et avec piété 12qu'il vous faut attendre et hâter l'avènement du jour de Dieu, où les cieux enflammés se dissoudront et où les éléments embrasés se fondront. 13Or nous attendons, selon sa promesse, des cieux nouveaux et une terre nouvelle, où la justice habite.

La patience du Seigneur est votre salut

14 Aussi, bien-aimés, dans cette attente, efforcez-vous d'être trouvés par lui sans tache et sans défaut dans la paix.

 

(debout)

 

CHANT 31-06, page 312

 

(assis)

 

PRIÈRE D'ILLUMINATION LECTEUR

 

Béni sois-tu, Esprit,
De chuchoter à tout homme
 Qu'il est le bien-aimé de Dieu.

Il y a ceux que tes feux dévorent,
Ceux que tu couves sous la cendre,
Ceux qui gémissent vers toi,
Comme des branches incendiées,
Ceux qui protègent entre leurs mains
Une modeste lueur,
Ceux qui se souviennent
De ton étincelle, jadis,
Et ceux qui l'ont oubliée ;
Ceux que tu éclaires
Et ceux qui s'enfument,
Ceux qui n'ont plus d'âtre,
Ceux qui ont le cœur en loques,


Mais il n'en est pas un, ô Esprit,
À qui, au travers de la nuit,
Tu n'aies dit la Nouvelle,
Et ne sache son âme façonnée
 Par ton amoureuse éternité.

 

 

 

 

LECTURE (lecteur)

 

 

MARC 1

 

La proclamation de Jean le Baptiseur

 

1 Commencement de la bonne nouvelle de Jésus-Christ, Fils de Dieu.

2 Selon ce qui est écrit dans le Prophète Esaïe :

J'envoie devant toi mon messager

pour frayer ton chemin ;

3 c'est celui qui crie dans le désert :

« Préparez le chemin du Seigneur,

rendez droits ses sentiers »,

4 survint Jean, celui qui baptisait dans le désert et proclamait un baptême de changement radical, pour le pardon des péchés. 5Toute la Judée et tous les habitants de Jérusalem se rendaient auprès de lui et recevaient de lui le baptême, dans le Jourdain, en reconnaissant publiquement leurs péchés. 6Jean était vêtu de poil de chameau, avec une ceinture de cuir autour des reins. Il se nourrissait de criquets et de miel sauvage.

 

7 Il proclamait : Il vient derrière moi, celui qui est plus puissant que moi, et ce serait encore trop d'honneur pour moi que de me baisser pour délier la lanière de ses sandales. 8Moi, je vous ai baptisés d'eau ; lui vous baptisera dans l'Esprit saint.

 

 

ORGUE

 

 

LA PRÉDICATION

Une professeur de nouveau testament que j'aimais bien et qui ce jour là assistait à un culte consistorial que je présidais, en dehors de ma paroisse, m'avait fait parvenir par l'intermédiaire de quelqu'un d'autre , son sentiment. Et cela disait: j'aime bien les prédications de Philipoussi car elles sont anthropologiques.

Ce qui m'avait surpris. Puisqu'à ce moment là- cela ne faisait même pas 10 ans que j'étais pasteur- et je croyais encore que je faisais des prédications évangéliques, voire théologiques. Mais j'ai rapidement compris. Car en fait, comment pourrait-il en être autrement, ou en d'autres termes, que serait une prédication si elle ne ne prenait pas en compte l'humain. Comment une prédication à propos de celui qui avait dit: Le Sabbat est fait pour l'humain et non l'humain pour le Sabbat , pourrait -elle devenir inhumaine?

Pourquoi, quelque soit le prédicateur, reviendriez vous au culte si les discours qui s'y produisaient tentaient uniquement d''explorer des sphères célestes, obscures, invisibles, évoquaient les anges , sans préciser que leur fonction est d'envoyer des messages, et que l'un de ces anges, finalement est peut-être votre voisin ou voisine de banc, avec sa bonne tête, et si vous l'écoutiez? … si, au culte on y dissertait sur l'amour, sans jamais évoquer le chagrin, si on y évoquait la paix sans dire la guerre et le viol, on y évoquait la vie sans dire la souffrance de l'enfantement et aussi celle du deuil, on y faisait des discours sans aucun lien avec votre sang, votre chair, votre désir, vos peurs et vos joies ? La parole sans chair. L'esprit sans ce souffle qui est venu nous inspirer et qui nous quittera. L'espérance sans aucun espoir concret où la raccrocher. Dieu, sans la crainte de Dieu. La foi sans la confiance qui est choix, et même choix politique, et non pas une sorte d'auto hypnose ou un état second », ou pire «  une qualité ». Voire, comme disent certains, un très beau médicament produit directement par votre cerveau.

 

Parfois on ressort d'un culte et à nos mécréants qui sont restés à la maison qui vous font la délicatesse de vous demander comment ça s'est passé, on leur rapporte alors qu'aujourd'hui vraiment, ça volait trop haut. Mais la réalité n'était sans doute pas que cela volait « haut » , elle était en fait que ça volait, du moins voletait  ailleurs, dans un univers langagier, truffé d'affirmations ésotériques déconnectés du réel commun.

L'avantage de l'évangile de Marc, qui est l'évangile de ce dimanche, c'est qu'il est un évangile très concret. Cet évangile contient très peu des qui font le miel édulcoré des prédications sans souffle. C'est un évangile très anthropologique finalement. On y trouve des actions, des réactions, quelques sentiments, des entrées, des sorties, des mouvements de foule, de l'effroi, de l'angoisse, de la surprise, de la sidération. On y remarque une couleur, une seule, qui est la couleur verte, couleur de l'herbe où s'installe- ou s'installera ? On dirait une prophétie- tout le monde lors de la première dite multiplication des pains, au chapitre 6. Un évangile où Jésus dira à ses proches disciples: je suis triste à mourir.  D'où l'expression, laquelle est à utiliser avec précaution quand finalement on n'est pas le Christ.

 

 

 

 

Qu'est ce qu'il y a de l'humain dans ce tout début de l'évangile de Marc? 

Déjà. Il y a Jean le baptiste, habillé de poil de chameau et qui mange des criquets et du miel, impossible de ne pas le remarquer, il est le symbole apparent de notre humanité sauvage, mais aussi celui ci , le baptiste, qui baptise d'eau mais qui annonce celui qui baptisera du souffle. Cet humain, sauvage, mais parfois capable d'annoncer le bon.

 

Mais encore. C'est aussi que ce personnage est concrètement décrit comme quelqu'un voué à disparaître, et ça déjà c'est on ne peut plus humain. Le tour de force narratif de cet évangile est de décrire le passé au présent. Comme pour nous rappeler à nous que le présent dans lequel nous aimerions tant nous sentir est déjà du passé pour ceux qui nous suivront. Comme pour jeter une ombre sur notre présent, comme pour annoncer notre propre et nécessaire effacement. Oui, nous dirait d'abord cet évangile, comme un premier choc «  vous ne vous en rendez pas compte, mais vous faites partie du passé » Et ce, que vous soyez vieux ou ou que vous soyez jeune. Ce n'est pas une question d'âge. C'est juste une constatation réaliste. Plus tard, nous serons au mieux consultés dans des registres du passé. C'est un fait. Jean le baptiste nous parle en fait de notre disparition, et assez d’euphémisme, de notre mort.

Mais si j'en restais là, bien que très anthropologique, aurais je annoncé la moindre bonne nouvelle? Non.

Car ce que je trouve le plus directement lié à mon humanité quand je lis ce début d'évangile, c'est son premier mot: à savoir le mot « commencement ».

Commencement de la bonne nouvelle de Jésus-Christ, Fils de Dieu.

C'est un titre, certes. Mais ce titre nous dit plein de choses. Déjà que l'évangile est à son commencement. Nous dit que peut-être nous-mêmes, nous les lecteurs heureux de découvrir cette pépite coincée dans une littérature antique, et malgré tous ces siècles qui se sont déroulés, nous sommes peut-être et aussi dans ce commencement. Mais alors, toute cette histoire, toutes ces histoires, tous ces dogmes, tous ces conciles, toutes ces batailles, elles n'auraient- donc servi à rien ? 

Alors, en bon protestant, un peu ironique, mais en tous les cas pas crispé sur aucune tradition, à cette question, je répondrais « peut-être que tout cela n'a servi à rien» , car moi aujourd'hui, je bute sur ce commencement d'évangile qui dit en mise en abyme «  Commencement de la bonne nouvelle de Jésus-Christ »

 

 

Ce titre fait aussi un clin d'oeil à la Genèse, rappelez vous «  Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. » . Et si c'était un appel? Rappelons nous que beaucoup à juste titre considèrent le début du livre de la Genèse comme un texte prophétique.

Et si c'était pour que maintenant ça se passe? 

 

Je vais donc vous faire une invitation, en forme d'une question, à laquelle je vous prie de répondre en votre for intérieur, et y répondre pleinement, quand peut-être vous serez rentrés chez vous. Considérez votre existence actuelle, toute votre actualité, que vous devrez donc embrasser comme dans un élan, et dans votre pure et incontestable subjectivité- c'est à dire que personne n'aura le droit de contester votre point de vue sur vous-même, considérant pensez vous que vous êtes dans un commencement ? Dans une continuité? Ou dans un recommencement ?

En fonction de l'évangile de jour, et dans cette inspiration éphémère qui fait notre miel du jour, je vous assure que le bon est de vous penser dans le commencement. Cet évangile, cette bonne nouvelle vous invite à oublier par exemple, la soi disant vertu du «  recommencement ». Une expression qui sonne, quand on l'écoute bien et qu'on a l'oreille fine, comme, au mieux un paradoxe, voire une injonction paradoxale, et au pire comme une insulte à l'intelligence. Re-commencer. L'ultime fausseté en 4 syllabes.

Regardez les enfants, dont Jésus s'inspire pour fournir à ses disciples un modèle anthropologique pour vivre de l'évangile et regardez les bien, vous croirez d'abord- puisque vous êtes des adultes qui savaient- que, quand ils n'arrivent pas à faire quelque chose et qu'ils se reprennent, qu'ils re-commencent; mais en réalité, quand ils réussissent, par exemple à prononcer une phrase complète, où à faire leur deuxième pas, c'est à ce moment là qu'ils commencent, véritablement. Ce qui précède n'a rien à voir. C'est presque la vie de quelqu'un d'autre.

La grâce à saisir ne va pas vous aider à recommencer quoi que ce soit. Car ce n'est pas possible.

Elle va faire mieux. Elle va vous conduire au commencement de la création du monde, elle va vous mettre dans un véritable commencement. Et même si vous êtes nés, ou avez été conçus au milieu du siècle dernier, ça ne change rien. C'est ici et maintenant que la bonne nouvelle commence. Et là, on peut enfin parler de la vie, de l'espérance profonde, et de quoi faire et de comment être dans le temps qui reste avant l'accomplissement annoncé par les prophètes. 

 

AMEN. ORGUE  (debout)

 

LA CONFESSION DE LA FOI (lecteur)

 

Nous, croyons en Dieu, qui mous appelle à oeuvrer à ses côtés, en vue de maintenir le monde et de le faire, chaque jour, nouveau.

Il est notre lumière, et nous avons besoin de son amour. Lui aussi, il a besoin de notre amour.

Nous croyons que Christ est venu pour aider chacun à porter sa souffrance et lui indiquer le chemin de la vie et de la joie.

Il est à nos côtés, que nous soyons ou non capables de le reconnaître, et nous avons confiance en lui. Lui aussi, il a confiance en nous.

Il nous adonné son esprit, qui mous ressource et mous appelle, afin que moue ne restions par au-dehors male que nous puissions contempler sa gloire.

Nous croyons que Dieu établira un jour sur la terre son Royaume, qu'il transformera notre monde et nous transformera nous-même

En vue de ce Royaume, il mous appelle à former un peuple nouveau, et il mous conduira jusqu'à ce matin éternel, où nous saurons reconnaître en tout visage son virage, en tout être et en tout regard l'image de sa divinité.

C'est en lui et lui seul que nous plaçons notre foi, car c'est lui et lui seul qui peut nous conduire à la vie.

Amen.

 

CHANT 31-11, page 318

 

(assis)

 

LES ANNONCES 

 

L'OFFRANDE (lecteur) Notre offrande . Elle manifeste notre communion .Pourrons nous payer la contribution pour laquelle nous nous sommes engagés, pourrons nous toujours animer nos groupes, embellir nos salles, accueillir les nouvelles personnes, pour faire briller la lumière de l'évangile ? La réponse est oui, les moyens se trouvent simplement dans notre choix.

(orgue adapté)

 

 

 

 

 

LA PRÉFACE ENSEMBLE

Éternel, nous te rendons hommage car tu es pour toujours,

notre Dieu, de génération en génération,

tu es le rocher de nos vies, le bouclier de notre salut.

C’est toi que, depuis toujours, nous remercions,

pour notre vie qui vient de toi et que tu bénis,

pour nos âmes qui te sont confiées et que tu gardes,

pour tes miracles de tous les jours envers nous.

À toute heure, le soir, le matin et à midi, Dieu de bonté, ta miséricorde ne s’achève pas

 

L'INSTITUTION

 

Nous allons communier, dans l'observance de ces paroles :

 

Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain et, après avoir rendu grâces, le rompit et dit : "ceci est mon corps qui est donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi".

De même, après avoir soupé, il prit la coupe et dit : "cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez." ”

 

LA PRIERE EUCHARISTIQUE ET D'INTERCESSION

 

Père, autour de cette table, nous allons faire mémoire des paroles et des gestes de Jésus-Christ, de sa mort, de sa résurrection, et nous attendons son retour.

Il n’y a ici qu’un peu de pain et un peu de vin. Envoie sur nous ton Saint-Esprit pour que nous les recevions comme les signes dont notre foi a besoin pour discerner la présence de Jésus-Christ au coeur de notre vie.

Nous sommes avides de posséder, de conquérir, de consommer, mais la vraie vie consiste à t’appartenir, à être vaincus par ton amour, à se déposséder pour mieux servir et pour mieux donner.

Par ce repas, fais-nous renaître à l’image de celui qui s’est donné lui-même pour nous. Garde le monde pour lequel nous intercédons: (prière commune en silence)...

Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ; pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Ne nous soumets pas à la tentation mais délivre-nous du mal, car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, aux siècles des siècles. Amen.

 

L'INVITATION

VENEZ CAR TOUT EST PRÊT.

 

LA COMMUNION

 

(le pain que nous rompons..., la coupe de bénédiction...)

 

(…) orgue adapté (doux)

 

L' ACTION DE GRACES

Père, nous te remercions pour ton fils Jésus-Christ. Il est la lumière du monde: celui qui le suit ne marchera pas dans la nuit. Il est le cep, nous sommes les sarments.

Fais que nous demeurions attachés à lui et que nous portions beaucoup de fruits. Il est le pain de vie et comble notre faim de toi.

 

L'EXHORTATION

Pardonnés et libérés, écoutons ce que Dieu veut pour nous et nous donne la force de faire :

C’est vous qui êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd son goût, comment pourrait-on le rendre à nouveau salé ? Il ne sert plus à rien ; on ne peut que le jeter dehors, et les gens marchent dessus.

C’est vous qui êtes la lumière du monde. Une ville construite sur une colline ne peut pas être cachée. On n’allume pas une lampe pour la mettre sous un seau. Au contraire, on la place sur son support d’où elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. C’est ainsi que votre lumière doit briller devant les hommes afin qu’ils voient le bien que vous faites et qu’ils louent votre Père qui est dans les cieux.”

 

LA BENEDICTION

 

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ORGUE

 

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