PIANO, par Myriam Saab
LA SALUTATION L'INVOCATION (extrait du PSAUME 30)
Écoute, Éternel, fais-moi grâce !
Éternel, sois mon secours !
Tu as changé mon deuil en allégresse,
Tu as délié mon sac et tu m’as ceint de joie,
Que tout mon être te chante,
En toi, que je ne sois pas muet.
Éternel, mon Dieu !
Je te célébrerai toujours.
De la part du Dieu vivant: salutation, paix et joie pour chacun et chacune d'entre vous, et pour toute notre assemblée de ce jour
AMEN
(DEBOUT)
LA LOUANGE (psaume 23)
L’Eternel est mon berger:
je ne manque de rien.
Il me fait reposer dans de verts pâturages,
Il me dirige près des eaux paisibles.
Il restaure mon âme,
Il me conduit dans les sentiers de la vie juste,
A cause de son nom.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort,
Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi :
Ta houlette et ton bâton me rassurent.
Tu dresses devant moi une table,
En face de mes adversaires;
Tu oins d’huile ma tête,
Et ma coupe déborde.
Oui, le bonheur et la grâce m’accompagnent
Tous les jours de ma vie,
Et je reviens, j’habite dans la maison de l’Eternel
Jusqu’à la fin de mes jours.
CHANT Ps 65, strophes 1, 2, 3, 4, 6 page 76
(ASSIS)
LA PRIÈRE DE CONVERSION
CORNEILLE, D'APRÈS LE PSAUME 63)
Dieu, que je reconnais pour l’auteur de mon être,
De qui dépend mon avenir,
Sitôt que la lumière a commencé de naître,
Je m’éveille pour te bénir.
Pour apaiser l’ardeur qui dessèche mon âme,
Ma soif n’a de recours qu’à toi ;
Et ma chair que dévore une pareille flamme
Se fait une pareille loi.
Dans un climat sans eaux, sans habitants, sans vie,
Devant toi je me suis offert,
Pour mieux voir les vertus que ta bonté déploie,
Et ta gloire dans ce désert.
Cette bonté, Seigneur, vaut mieux que mille vies,
Que mille empires à la fois
Nous t’en devons louer, et nos âmes ravies
Y vont unir toutes nos voix.
Puissé-je de mes jours n’employer ce qui reste,
Qu’aux éloges d’un Dieu si bon ;
Et n’élever les mains vers la voûte céleste
Que pour en exalter le nom.
Se puisse ainsi mon âme enivrer de ta grâce,
Et s’enrichir de tes présents,
Que ma joie à ma langue en confiera l’audace
Jusqu’à la fin de mes ans.
Au milieu de la nuit dans le fond de ma couche,
J’en veux prendre un soin amoureux,
Et dès le point du jour, mon esprit et ma bouche
Béniront ton secours heureux.
En l’appui de ton bras, sous l’ombre de tes ailes,
J’ai mis mon bonheur souverain ;
Et mon âme attachée à tes lois éternelles
A reçu l’aide de ta main.
CHANT 49-14, strophe 1 , page 788
L'ANNONCE DU PARDON
avec le Psaume 46
Dieu est pour nous un refuge et un appui,
Un secours qui ne manque jamais dans la détresse.
C’est pourquoi nous sommes sans crainte
quand la terre est bouleversée,
quand les montagnes chancellent au cœur des mers,
quand les flots de la mer mugissent, écument,
Se soulèvent jusqu’à faire trembler les montagnes.
L’Éternel est un fleuve dont les courants réjouissent la cité de Dieu,
Le sanctuaire des demeures du Très-Haut.
Dieu est au milieu d’elle : elle n’est point ébranlée;
Dieu la secourt dès l’aube du matin.
(DEBOUT)
CHANT 49-14, strophe 2 , page 788
LA VOLONTÉ DE DIEU (LECTEUR)
Extrait Psaume 1
Heureux l’humain
qui ne marche pas selon le conseil des méchants,
Qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs,
Et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs,
Mais qui trouve son plaisir dans la parole de l’Eternel,
Et qui la médite jour et nuit !
Il est comme un arbre
planté près d’un courant d’eau,
Qui donne son fruit en son temps,
Et dont le feuillage ne jaunit pas :
Tout ce qu’il fait lui réussit.
CHANT 49-14, strophe 3 , page 788
(ASSIS)
LA PRIÈRE D'ILLUMINATION (LECTEUR)
Seigneur, quand le bruit du quotidien nous empêche d’entendre ta voix,
quand le bruit de nos soucis couvre tes paroles d’espérance,
quand le tumulte de la vie semble nous emporter, éveille nos cœurs à ta Parole.
Seigneur, quand nous n’arrivons plus à discerner ce qui est prioritaire,
quand nous ne voyons plus que l’ombre des choses,
quand nous ne savons plus distinguer l’essentiel du superflu,
ouvre nos yeux à ta présence.
Eveille nos coeurs à la Parole que nous allons entendre maintenant,
qu’elle soit notre nourriture, celle qui nous permet d’avancer et de toujours espérer.
Amen
LES LECTURES (LECTEUR)
Amos 7, 12-14
12 Amatsia dit à Amos : Va-t'en, visionnaire, va te réfugier au pays de Juda ; là-bas, tu pourras manger ton pain et parler en prophète. 13Mais ne continue pas à parler en prophète à Beth-El, car c'est un sanctuaire de roi, et une maison royale.14 Amos répondit à Amatsia : Je ne suis ni prophète, ni fils de prophète ; je suis éleveur de bovins et cultivateur de sycomores. 15Le Seigneur m'a pris derrière le troupeau ; le Seigneur m'a dit : Va, parle en prophète à Israël, mon peuple.
Marc 6.30-34 :
30 Rassemblés auprès de Jésus, les apôtres lui racontèrent tout ce qu'ils avaient fait et tout ce qu'ils avaient enseigné. 31 Il leur dit : Venez à l'écart, dans un lieu désert, et reposez-vous un peu. Car beaucoup venaient et repartaient, et ils n'avaient pas même le temps de manger.
32Ils partirent donc dans le bateau pour aller à l'écart, dans un lieu désert. 33 Beaucoup les virent s'en aller et les reconnurent ; de toutes les villes, à pied, on accourut et on les devança.
34 Quand il descendit du bateau, il vit une grande foule ; il en fut ému, parce qu'ils étaient comme des moutons qui n'ont pas de berger ; et il se mit à leur enseigner quantité de choses.
PIANO
LA PRÉDICATION
Amos, au 8e s. avant Jésus-Christ, qui habite dans le royaume juif du sud, à savoir le territoire de Juda, est un jour appelé à venir prêcher dans le Royaume de Samarie, c'est-à --dire le royaume du Nord. Les deux royaumes sont séparés depuis l'an 931 qui est date de la mort du Roi Salomon. Les deux royaumes sont juifs, ils ont chacun d'eux des sanctuaires, dont celui de Bethel au Nord. Où Amos va prêcher.
Des oracles de malheur qui sont presque insupportables à lire. En voici un extrait et parmi les moins violents. Amos, celui qui ne se considère pas comme une prophète, énonce néanmoins ceci, au nom de son Dieu:
Chapitre 5
21 Je déteste vos fêtes, je les rejette,
je ne veux plus sentir vos assemblées solennelles.
22 Quand vous me présentez vos holocaustes et vos offrandes,
je ne les agrée pas ;
vos sacrifices de paix et vos bêtes grasses,
je ne les regarde pas.
23 Eloigne de moi le tumulte de tes chants !
Je n'écoute pas le son de tes luths,
24 mais que l'équité coule comme de l'eau,
et la justice comme un torrent intarissable.
Et il dit ça dans le lieu même du culte.
Et puis finalement le chef des prêtres, qui l'a dénoncé au Roi Jéroboam 2, le prend à part et lui dit d'aller faire le prophète, mais ailleurs, chez lui.
Alors il est possible qu'Amos soit rentré chez lui mais qu'il ait en échange envoyé, ou adressé une lettre: qui serait en quelque sorte le livre d'Amos lui-même. Une lettre qui contient aussi ça:
Toujours au Chapitre 5
11 Aussi, parce que vous avez foulé aux pieds le pauvre,
et que vous avez pris de lui du blé en présent,
vous avez bâti des maisons en pierres de taille,
mais vous ne les habiterez pas ;
vous avez planté d'excellentes vignes,
mais vous n'en boirez pas le vin.
12 Car, je le sais, vos transgressions sont multitude,
vos péchés sont nombreux ;
vous opprimez le juste, vous acceptez des pots-de-vin
et à la porte de la ville vous écartez les pauvres.
Et au chapitre 8
4 Ecoutez, vous qui harcelez le pauvre
et qui supprimez les déshérités du pays !
5 Vous dites : Quand la nouvelle lune sera-t-elle passée,
que nous vendions le grain ?
Quand le sabbat finira-t-il,
que nous ouvrions les sacs de blé ?
Nous diminuerons l'épha,
nous augmenterons le prix,
nous fausserons les balances pour tromper ;
6 nous achèterons les petites gens pour de l'argent,
le pauvre pour une paire de sandales,
et nous vendrons même le déchet du blé.
7 Le Seigneur l'a juré par l'orgueil de Jacob :
je n'oublierai jamais aucune de leurs œuvres.
8 La terre ne tremblera-t-elle pas à cause de cela ?
Il y aurait eu effectivement un tremblement de terre, et finalement, un peu plus tard, le Royaume de Samarie, du Nord d'Israël, selon qu'on le nomme a été envahi. Et il a disparu.
Amos est donc la quintessence du prophète non pas virulent, mais
violent, qui annonce les catastrophes qui résulteront de l'état de décomposition avancée du Royaume du Nord, gangréné selon lui par l'opulence, par l'avidité, la corruption, la prostitution aux idoles, et surtout par l'injustice faite aux pauvres. Bref, selon cet homme du sud, les frères ennemis qui sont au Nord méprisent l'intégralité des Lois de Dieu et dès lors ne vont pas s'en remettre.
Amos ignorera toujours qu'environ 300 ans plus tard, le royaume de Juda, du sud sera lui aussi envahi, et sa population déportée à Babylone.
Dans nos textes du jour, nous avons un autre passage , celuiqui vous a été lu sur un épisode de la vie de Jésus, relaté dans le chapitre 6 de Marc.
Et on remarque aussitôt une chose. Si Jésus est entre autres, considéré comme un prophète, il est très différent d'un de ses illustres prédécesseurs à savoir, Amos.
Quand Amos n'est qu'invective et malédictions – sans doute avait il des raisons mais là n'est pas mon problème aujourd'hui – Jésus lui, s'il a commis quelques prophéties vigoureuses- n'est la plupart du temps, pas dans l'invective. Ici, dans ce passage et c'est commun dans Marc, aucune parole directe de Jésus n'est relatée, ce qui contraste avec Amos qui lui ne fait que parler, certes, de la part de Dieu, mais c'est un torrent. En revanche, Marc écrit que Jésus est extrêmement ému par cette foule qui vient l'entourer lui et ses disciples. Cette foule de moutons égarés, suggère le texte. Des brebis perdues, mais pas si perdues que cela dans la mesure où elles n'attendent pas qu'un hypothétique berger vienne les chercher et les retrouver, mais elles courent, se déplacent, poursuivent la rumeur, comme mues par un instinct, ou une inspiration qui les guident vers celui qu'elles imaginent être le bon berger.
Celui-ci avait il prévu cela ? Le récit semble suggérer que non car comme nous l'avons dit la semaine dernière (vous pouvez retrouver les textes sur notre site), Jésus menuisier, et aussi guérisseur, s'est un jour considéré comme un enseignant. Il a donc d'abord fondé une école, a recruté des élèves, et a donné à ses élèves mission d'aller disséminer son enseignement.
Cette foule surgit au moment où justement Jésus proposait à ses élèves/ disciples/ apôtres, qui revenaient de mission de se reposer, à l'écart.
Jésus était donc de loin d'être tout à coup obligé finalement, conduit, propulsé, intimé par sa propre émotion, de devenir un pasteur, dans le sens berger, conducteur.
Donc on peut lire dans les évangiles, à condition d'avoir un œil un peu transversal, que la vocation de Jésus se sédimente en couches successives, sans que l'une n'exclut l'autre.
D'ailleurs, à la fin de ce récit du jour, on voit que tout en étant désormais et de fait un berger, Jésus continue à enseigner aux gens. C'est à dire qu'il ne profite pas de sa nouvelle élection populaire pour dire n'importe quoi, mais pour aller avec eux comprendre les textes fondamentaux, les interpréter sans relâche comme depuis la nuit des temps, les juifs apprennent très jeunes à le faire. Il ne profite pas non plus de la foule rassemblée et confiante, pour lui asséner des prophéties de malédictions.
D'ailleurs quand on dit que Jésus est un prophète et même si on ajoute qu'il n'est pas que ça, en tant qu'élu de Dieu, ou fils de Dieu, ou Messie, il est possible que tout simplement on se trompe. Certes, Jésus a prophétisé, mais semble-t-il cela n'a pas été le plus clair de son ministère, qui est basé sur la proximité personnelle, le soin, la confrontation à des situations inextricables, qu'il réussit cependant à dénouer par une intelligence inspirée. Au fond, je pense qu'il est essentiellement ce qu'on raconte d'emblée de lui: un enseignant, un maître, un rabbi. Et qu'il n'a jamais cessé de l'être, et que son enseignement passait aussi par des gestes, des actes, des signes forts et aussi des paraboles, c'est à dire des paroles actes et mouvements, qui nécessitaient de s'y attarder pour les comprendre vraiment. Ce qui est très loin d'une parole prophétique telle que celle d'Amos et d'autres, qui ne peut être qu'à prendre ou à laisser.
Enfin, pour finir cette nouvelle petite prédication d'été, je note ce passage qui me fait rêver et qui j'en suis certain n'a pas été mis là pour rien:
verset 34 : parce qu'ils étaient comme des moutons qui n'ont pas de berger ; et il se mit à leur enseigner quantité de choses.
Des quantités de choses dont on ne saura rien! Mais qui ont été entendues, et sans doute répercutées, de bouche à oreille, de générations en générations.
Des quantités de choses qui selon le code de sobriété de parole employé par Marc représentent pour nous un vide.
Mais un vide qui est peut-être un appel subtil.
Qui consisterait d'une part à tenter d'entendre, au milieu de toutes les rumeurs qui transforment nos cerveaux en ruche inutile, le souffle de ces paroles transmises et qui avaient été emportées par le vent, mais qui peut-être, sans qu'on en sache l'origine, sont, sous une forme ou sous une autre, au seuil de nos oreilles , des paroles aussi exigeantes que celles d’Amos, mais sans la malédiction, des paroles et des actes, des paroles /actes, des actes signifiants,
qui peut-être t'apprennent et exigent la justice où à tout le moins qui t’apprennent à voir l'injustice et de donnent le pouvoir en être ému.
Ce non-dit de Marc est peut-être d'autre part la suggestion pour nous d'entrer finalement dans l'école de Jésus, de devenir élèves, pour être à notre tour des enseignants, qui peut-être diront ce que Marc en concluant ce passage ainsi nous a laissé imaginer.
AMEN
PIANO
(DEBOUT)
LA CONFESSION DE FOI Ensemble (LECTEUR)
(prière de confession de foi)
Béni sois-tu, Esprit,
De chuchoter à tout être humain
Qu’il est le bien-aimé de Dieu.
Il y a ceux que tes feux dévorent,
Ceux que tu couves sous la cendre,
Ceux qui gémissent vers toi,
Comme des branches incendiées,
Ceux qui protègent entre leurs mains
Une modeste lueur,
Ceux qui se souviennent
De ton étincelle, jadis,
Et ceux qui l’ont oubliée ;
Ceux que tu éclaires
Et ceux qui s’enfument,
Ceux qui n’ont plus d’âtre,
Ceux qui ont le cœur en loques,
Et dans la tête un grand abîme.
Mais il n’en est pas un, ô Esprit,
À qui, au travers de la nuit,
Tu n’aies dit la Nouvelle,
Et ne sache son âme façonnée
Par ton amoureuse éternité.
France Quéré (1936-1995)
CHANT 49-04, toutes les strophes, page 777
(ASSIS)
ANNONCES ET OFFRANDE (piano)
LA PRIÈRE D'INTERCESSION (LECTEUR)
prions avec le Psaume 65
Tu as aimé, Éternel, cette terre
Tu as fait revenir les déportés de Jacob
Tu as ôté le péché de ton peuple
Tu as couvert toute sa faute
Tu as mis fin à toutes tes colères
Tu es revenu de ta grande fureur.
Fais-nous revenir, Dieu notre salut !
Oublie ton ressentiment contre nous
Seras-tu toujours irrité contre nous ?
Maintiendras-tu ta colère pour toujours ?
N’est-ce pas toi qui reviendras nous faire vivre
et qui seras la joie de ton peuple ?
Fais-nous voir, Seigneur, ton Amour
et donne-nous ton Salut !
J’écoute : Que dira l’Éternel Dieu ?
Ce qu’il dit c’est la paix pour son peuple et ses fidèles
qu’ils ne reviennent jamais à leur folie !
son salut est proche de ceux qui le cherchent
et la gloire habitera notre terre.
Amour et Fidélité se rencontrent
Justice et Paix s’embrassent
la Fidélité germera de la terre
et du ciel se penchera la Justice.
L’Éternel donnera aussi le bonheur
et notre terre donnera son fruit.
La Justice marchera devant lui
et ses pas traceront le chemin.
NOTRE PÈRE
L'EXHORTATION (LECTEUR)
avec le Psaume 40
D’un grand Espoir j’espérais l’Éternel,
Il s’est penché vers moi, il a écouté mon cri.
Il m’a tiré de l’horreur du gouffre, du fond de la boue,
Il a établi mes pieds sur le roc et a affermi mes pas.
Il a mis un chant nouveau dans ma bouche,
Une louange à notre Dieu,
Beaucoup le verront et auront du respect :
Ils se confieront en l’Éternel
Heureux est l’humain qui place sa confiance en l’Éternel
et ne va pas du côté de l’arrogance et de la traîtrise.
Tu as multiplié, Éternel mon Dieu,
Tes merveilles et tes actions en notre faveur :
Nul n’est comparable à toi.
Je voudrais les dire et les publier, ces merveilles,
Mais leur nombre est trop grand !
Tu ne désirais ni offrande ni sacrifice,
Tu m’as ouvert les oreilles,
Tu ne demandais pas d’holocauste pour racheter la faute.
Alors j’ai dit : « Voici, je viens !
Avec le rouleau du livre écrit pour moi. »
Je prends plaisir à faire ce que tu espères,
Mon Dieu, voilà ce que j’aime
Ta Parole est au fond de mon cœur.
(DEBOUT)
LA BÉNÉDICTION
Que le Dieu vivant vous bénisse et vous garde. Au travail ou au repos, dans le tumulte ou dans le calme. Chaque jour et chaque moment qu'il créé, qu'il soit à vos côtés et que sa présence illumine vos jours et ceux de vos bien-aimé.e.s. AMEN
(ASSIS)
PIANO